On arrive sur
Diego, ville de la pointe nord de l'ile. Le taxi brousse est tout a
fait convenable, la route elle, est bien defoncee comme annonce. Il
nous faut 6 heures pour faire 250 km ; Bon, en comptant les pauses
dejeuner, les arrets pipi, les arrets descente et prise de passagers,
plus toujours plus.
On arrive chez
Claire, francaise travaillant pour une ONG qui scolarise les enfants
handicapes.
De la, nous
allons decouvrir les 3 baies, juste sublimes. Ou certains locaux et
touristes s'adonnent au kitesurf... note pour les interesses.
Le lendemain,
j'ai le malheur de tomber malade, petite fievre. J'opte pour le repos
pour 2 jours. Matthieu, lui continue sa vadrouille et me ramene de
belles photos de la montagne des francais.
Le dernier jour,
on est alle a Ramena, le village a la pointe extreme de l'ile. Repere
des familles le dimanche.
Claire nous
invite a se joindre a elle et quelques amis expats pour un concert de
jazz... enfin une temptative. La clientele est rare et la musique,
reprise. Bref, la compagnie est neanmoins agreable. Je rencontre un
ingenieur brasseur, une prof et un logisticien pour medecin sans
frontiere.
Il est ensuite
temps de prendre le brousse qui en moins de 27 heures va nous
conduire a Tana, la grande.
La, j'ai retrouve
l'excitation des longs voyages. Les arrets dans les petits villages
pour les snacks, la musique locale en boucle, les paysages qui
defilent, les temptatives d'assoupissements, mais surtout le
soulagement a l'arrivee enfumee dans la ville.
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